Après vous avoir parlé de mon Trek Rose Trip au Maroc précédemment, je vous présente dans cet article quelques-unes des équipes des plus inspirantes, ayant marché dans le désert de Lompoul en 2022, pendant le Trek Rose Trip au Sénégal.
2022, la première édition du Trek Rose Trip au Sénégal
La première édition du Trek Rose Trip au Sénégal – qui était initialement prévue pour le printemps 2020, et qui a finalement eu lieu en avril 2022 – parcourait environ 60 km dans le désert de Lompoul. Soixante-et-une équipes de 3 participantes chacune, dont 5 équipes québécoises, âgées de 24 ans à 73 ans, dont quelques survivantes du cancer du sein, ont foulé ce sol aux écosystèmes variés et sous une chaleur accaparante par moment. Cette randonnée 100% féminine, sous forme d’un trek d’orientation solidaire et écoresponsable, fut l’une de mes expériences de voyage les plus significatives !
À lire également : Pour en savoir plus sur ce défi solidaire au Sénégal, vous pouvez lire mon article sur ma participation à ce trek entre femmes au Sénégal.
1 an après cette incroyable aventure, j’ai décidé de donner la parole à des participantes du Trek Rose Trip au Sénégal. Comme pour toutes les femmes extraordinaires interviewées le long du parcours… Voici ce qu’elles m’ont confié…
Qu’est-ce qu’un trek d’orientation?
Un trek d’orientation vient stimuler certaines de nos habiletés, souvent insoupçonnées. Bien plus qu’une randonnée dans le désert pendant plusieurs jours – sans rien enlever au défi bien présent de marcher dans le sable – un trek d’orientation demande en premier lieu d’étudier les caps ainsi que les distances à parcourir sur les cartes à l’aide d’un rapporteur topographique. Tous les matins, par équipe de 3 femmes, le défi réside à rallier un point A à un point B, les contrôles de passage physiques ou virtuels et les points de ravitaillement où l’organisation accueille les concurrentes pour une pause bien méritée, et ce, à l’aide d’une boussole (on oublie le téléphone portable et le GPS). Les équipes sont aussi munies d’un Trippy (un système de calcul des distances muni aussi d’un système de repérage des balises physiques et virtuelles. Le Trippy sonne à environ 30 mètres de celles-ci), d’une balise de géolocalisation et bien sûr, de bonnes bottes de randonnée. Au final, le classement met à l’honneur celles qui, en ayant pointé toutes les balises, parcourent le moins de distance.
Rencontre avec des participantes du Trek Rose Trip au Sénégal : 1 an après…
Les Melroses : les grandes gagnantes du Trek Rose trip au Sénégal
Lisanne, Yaël, deux soeurs policières, ainsi que Lise, qui travaille au gouvernement du Québec, habitent toutes près l’une de l’autre dans la région du Grand Montréal. Ces mamans et femmes des plus extraordinaires marchaient entre autres pour leur amie Mélanie atteinte du cancer depuis près de 10 ans. Et elles ont même remporté la première place ! Lisanne et Yaël avaient aussi participé au Trophée Rose des sables, au Maroc, dix ans plus tôt ! Cette fois-ci, à trois, elles ont aussi partagé l’expérience aux côtés de leur mère et son équipe. Que de fierté, après avoir vécu un infarctus en 2017 et fait toute une remise en forme par la suite.
1. Qu’est-ce qui vous a marqué le plus du Trek Rose Trip au Sénégal?
La chaleur du peuple sénégalais, leur façon de vivre, leur proximité les uns avec les autres et leur joie de vivre. Les paysages sont aussi dignes du film du Roi Lion. Yaël ajoute : « Nous avons fait de superbes rencontres. Ce genre de liens restent souvent tissés longtemps. »
2. Qu’est-ce que vous avez appris sur vous-mêmes durant cette expérience au Sénégal ?
Que nous faisons une solide équipe les 3 ensemble. Que nous sommes bien plus persévérantes que nous le croyons (et peut-être aussi un peu compétitives) !
3. Que vous reste-t-il en tête, un an après ce défi au milieu du désert de Lompoul ?
TOUT ! Que de beaux souvenirs, même les petites embûches rencontrées sont maintenant devenues de belles péripéties ! « J’ai la chance de pouvoir beaucoup en discuter avec une amie qui fera l’édition de 2023, alors tout revient à la surface et reste frais dans ma mémoire ! », partage Lisanne. Et Yaël de compléter : « À chaque fois que je revois une publication sur les réseaux sociaux au sujet du Trek, j’ai envie de repartir ! »
4. Est-ce que le retour au Québec fut quelque peu difficile ? Ou au contraire, cette expérience vous a-t-elle donné le carburant pour continuer ?
Ce ne fut pas un très long voyage et nous avions pris du temps avant et après le trek pour découvrir le Sénégal. Donc, le tout s’est fait graduellement. « Pour ma part le retour n’a pas été pénible : la routine a repris rapidement et nos familles et amis étaient fiers de nous. Alors c’était agréable de discuter de notre expérience avec eux. », confie Lisanne.
5. Pensez-vous que la plupart des femmes devraient se donner la chance de vivre ce genre de moment unique ?
Certainement, car elles en sont toutes capables ! Ça fait du bien de se donner un défi personnel de ce genre et de l’accomplir. Mais encore faut-il avoir un petit brin d’aventureuse en soi, comme l’expérience pourrait quand même s’avérer un peu éprouvante émotivement et physiquement. Le Trek Rose Trip représente un bon test à savoir si notre confiance en nous est suffisante.
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Lisanne, Yaël et Lise
Les 3 roses du Sénégal : un pèlerinage pour ce trio de participantes françaises
Sandrine, Sandra et Stéphanie, vivent dans la superbe région du Calvados en France. Ces trois amies des plus inspirantes se sont en fait rencontrées à la salle de sport et ont décidé de joindre l’aventure du Trek Rose Trip au Sénégal ensemble. Ayant perdu une belle-mère du cancer du sein, elles ont aussi amassé des fonds pour la recherche sur la sclérose en plaques, comme l’une de leur amie en est affectée. Ce genre de pèlerinage a pris aussi une autre signification comme l’une d’entre-elles a aussi perdu sa maman, à peine un mois avant le grand départ.
1. Qu’est-ce qui vous a marqué le plus du Trek Rose Trip au Sénégal ?
Plusieurs choses nous ont particulièrement touchés lors de cette expérience ! Tout d’abord, la bienveillance des Sénégalais à notre égard. Puis, la cohésion et l’entraide entre chaque participante, toutes conscientes de vivre un moment unique. Et bien évidemment, la beauté et l’immensité des paysages du désert de Lompoul.
2. Qu’est-ce que vous avez appris sur vous-mêmes durant cette expérience au Sénégal ?
« J’ai beaucoup appris sur moi-même pendant cette expérience. En effet, un mois avant de partir pour le Sénégal, j’ai vécu le décès de ma maman. Je ne savais pas si j’allais être capable de surmonter ma tristesse. Mais cette expérience incroyable m’a révélée toutes les ressources que je possède. Elle m’a fait prendre conscience que je suis forte, déterminée et que je suis capable d’accomplir de belles choses malgré ma sensibilité et mon manque de confiance en moi. », confie Sandrine. La cohésion au sein de notre équipe, nous a appris, ou a réitéré, la possibilité d’être aidé et soutenu par les gens qui nous aiment, et ce, malgré nos défauts et imperfections.
3. Que vous reste-t-il en tête, un an après ce défi au milieu du désert de Lompoul ?
Une seule idée : y retourner et revivre d’autres incroyables moments de partage, de cohésion et d’amour !
4. Est-ce que le retour en France fut quelque peu difficile ? Ou au contraire, cette expérience vous a-t-elle donné le carburant pour continuer ?
Le retour à la réalité fut particulier entre autres pour Sandrine. « En effet, j’ai surtout pris davantage conscience de la chance que nous avons. Que tous nos petits tracas d’Occidentaux sont peut-être minimes aux vues des difficultés quotidiennes que peut rencontrer la population sénégalaise. Cette expérience a été si formatrice et m’a donnée envie de me dépasser afin de soutenir d’autres causes. »
Notre équipe a soutenu la recherche pour le cancer du sein ainsi que nous avons fait un don pour l’école Ker Maimouna. À notre retour en France, nous avons également fait un don à la recherche pour la sclérose en plaques. De plus, toujours en tant qu’équipe, nous avons poursuivi nos actions en participant à un autre évènement caritatif et sportif, qui vient en aide aux victimes de violences conjugales. Le Trek Rose Trip a tellement renforcé notre motivation à faire une différence !
5. Pensez-vous que la plupart des femmes devraient se donner la chance de vivre ce genre de moment unique ?
Toutes les femmes devraient se donner le droit et l’opportunité de vivre ce genre d’expérience et parenthèse dans sa vie. Se permettre de faire une pause de femme, de mère, d’épouse, de fille et de se permettre juste d’être une femme face au désert. C’est ça le début du bonheur ! « Marcher le long du Trek Rose Trip ramène à l’essentiel, recentre sur nos vrais besoins, nos envies profondes et donne la chance d’acquérir de nouveaux repères », partage Sandrine. En plus, ce genre de marche permet de rencontrer des personnes fantastiques et de découvrir de nouvelles cultures.
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Sandrine, Sandra et Stéphanie
Les Nord-Côtières sans limite
Geneviève (qui a aussi participé au Trophée Rose des sables au Maroc en 2018), Marilyne et Véronique se sentaient déjà fières d’elles (avec raisons) d’avoir déjà accomplit tout ce chemin, avant même d’avoir foulé le sol du désert de Lompoul pour ce Trek Rose Trip au Sénégal. Ces amies de la magnifique région de la Côte-Nord avaient amassé des canettes tous les week-ends de juin à octobre, vendues des chandelles faites maison, de la gelée de pommettes et des potages dans les centres d’achats et bien plus…
1. Qu’est-ce qui vous a marqué le plus du Trek Rose Trip au Sénégal?
Pour Geneviève, c’est principalement l’entraide qui a eu lieu entre certaines femmes, malgré la compétition ainsi que la diversité des paysages majestueux qui l’ont marquée. Elle note aussi l’organisation à la fine pointe : « Nous nous sommes toujours senties en sécurité, même lorsque nous nous sommes perdues, nous savions que nous n’étions pas seules et que l’équipe de logistique allait nous retrouver. » Pour Maryline, c’est aussi le panorama – entre le désert et l’océan – qui l’a touchée. L’immensité des dunes et de se sentir si petite sur les pistes. Ainsi que l’organisation hors du commun ! « La solidarité sur le bivouac, l’ambiance qui y régnait et le fait de s’y retrouver sans artifice. De belles rencontres et des liens se sont créés rapidement, dans la vulnérabilité du moment », partage-t-elle.
2. Qu’est-ce que vous avez appris sur vous-mêmes durant cette expérience au Sénégal ?
Geneviève mentionne qu’elle a appris l’importance de respecter ses limites. Que le fait de ne pas avoir réussi la première étape ne les a pas empêchées d’éprouver du plaisir à faire les autres étapes et qu’au bout du compte : l’important était davantage la participation plutôt que d’atteindre le podium. De plus, sa persévérance ne l’a pas lâchée, afin qu’elle puisse profiter du moment pour vivre le Trek Rose Trip au Sénégal en pleine conscience. « J’ai bien choisi mes coéquipières, qui sont aussi mes amies, notre énergie et respect mutuel nous ont permis d’être là l’une pour l’autre et de faire cette expérience ensemble, empreint de soutien, de complicité et de confiance », dit Geneviève.
Marilyne a également appris que c’est en fait elle qui se met ses propres limites dans la vie et qu’elle tend à se faire moins confiance dans l’atteinte de défis physiques. Mais que dans les faits, elle est vraiment plus en mesure de se dépasser qu’elle le pense. Puis, elle s’est aussi rendu compte qu’elle a besoin de son équipe pour avancer davantage : que seule, elle se serait peut-être découragée. En équipe, on va plus loin : les forces de chacune surmontent les limites de toutes. « De plus, je pensais avoir un esprit de compétition plus fort, mais j’ai pu lâcher prise et juste apprécier les évènements et surprises du quotidien le long de l’expérience dans le désert. », dit Marilyne.
3. Que vous reste-t-il en tête, un an après ce défi au milieu du désert de Lompoul ?
Rose un jour, rose toujours ! « Dernièrement, je regardais justement des photos du trek. Une foule de souvenirs ont remonté, mais ce qu’il me venait surtout en tête : c’est ma réussite, ma fierté, le plaisir que j’ai éprouvé et le fait que nous avons participé à la première édition du Trek Rose Trip au Sénégal. Un privilège que seules nous aurons ! »
Pour Marilyne, en plus de fierté d’avoir pris part à la première édition, il lui reste plein de magnifiques paysages imprimés dans sa tête. « Il me reste aussi les images des enfants à l’école et les sentiments ressentis par rapport à la solidarité démontrée. Entre autres par ce genre de défi personnel, il est possible de redonner au prochain et faire une différence dans la vie de ces enfants ». Sans parler du sable qu’il reste encore dans ses bottes de randonnée…
4. Est-ce que le retour au Québec fut quelque peu difficile ? Ou au contraire, cette expérience vous a-t-elle donné le carburant pour continuer ?
« À part m’adapter au décalage horaire, le retour au Québec n’a pas été difficile, comme la fierté d’avoir surmonté ce défi l’emportait », partage Geneviève. De plus, les Nord-Côtières sans limite ont pu remettre 10 000$ de dons à leur communauté – divisés pour 5 organismes communautaires venant en aide aux femmes et enfants de Baie-Comeau – qui fut très reconnaissante. Offrir ces dons a procuré à l’équipe un grand bonheur !
Marilyne n’a pas non plus vécu de blues du retour, sûrement dû au sentiment de la « mission accomplie : un défi relevé avec brio et une impression de pouvoir relever n’importe quel autre but si souhaité ! » Sans oublier de noter que suivant l’année de préparation intense, elle pouvait maintenant savourer d’avoir plus de temps et surtout d’avoir pu redonner à sa communauté.
5. Pensez-vous que la plupart des femmes devraient se donner la chance de vivre ce genre de moment unique ?
Toutes les femmes peuvent gagner à faire l’expérience du Trek Rose Trip ! Certes, le tout nécessite une dose de forme physique, mais c’est la force mentale qui mène jusqu’au bout. Le trek représente une quête personnelle à tous les niveaux ! Pour Geneviève, ce périple – qui comprend aussi la recherche préalable de financement – aide au développement d’une foule de caractéristiques, comme la hausse de la confiance en soi, l’amélioration du travail en équipe, la persévérance et la ténacité, pour ne nommer que ceux-là. « Je me sens nostalgique lorsque je pense que le prochain départ est dans quelques semaines ».
Marilyne ajoute d’autres raisons de participer : pour décrocher du quotidien, se retrouver face à soi-même, dépasser ses limites, réaliser quelque chose de plus grand que soi et trouver des réponses en période de transition de vie même…
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Geneviève, Marilyne et Véronique
Les chasseuses de dunes : le Trek Rose Trip pour apprendre la résilience
Valérie, Fannie et Debbie vivent dans la région de la Mauricie : La belle d’à côté. Elles amassaient aussi des fonds pour la recherche pour la Société canadienne de la sclérose en plaques (section Mauricie). Ce n’est pas un pur hasard qu’elles aient choisi cet organisme, comme Valérie est elle-même atteinte de cette maladie auto-immune. Que d’inspiration pour moi de rencontrer ces femmes fortes et magnifiques !
1. Qu’est-ce qui vous a marqué le plus du Trek Rose Trip au Sénégal?
« Ce qui m’a touchée le plus, c’est le Sénégal et son peuple. Mais aussi de me rendre compte de la pauvreté, la pollution, la conduite… : un certain choc culturel s’est fait sentir », partage Valérie. Nous avons toutes été touchées par cette phrase mentionnée par un Sénégalais : « Ici, au Sénégal, on tue le temps. Et pour vous en Amérique, le temps vous tue ! » Nous cherchons encore à l’appliquer dans nos vies, soit tuer le temps !
2. Qu’est-ce que vous avez appris sur vous-mêmes durant cette expérience au Sénégal ?
Certainement, la résilience ! Valérie craignait d’être un « fardeau » (pour reprendre ses mots) pour son équipe. De plus, elle qui se dit hyper compétitive en général, elle a appris à se centrer et à accepter qu’elle soit quand même malade. Au début de l’expérience, elles ont dû se réajuster l’une à l’autre, d’où l’importance de bien communiquer.
3. Que vous reste-t-il en tête, un an après ce défi au milieu du désert de Lompoul ?
Le pays, les gens, surtout. Mais, il y a un fossé énorme entre les conditions des enfants de l’école que nous avons visités ainsi que celles des gens rencontrés et notre rythme de vie au Québec. Pour Valérie, ce voyage dépaysant lui a permis d’être encore plus reconnaissante de la chance qu’elle a d’être née au Québec. Puis, leur amitié et les liens qu’elles ont soudés : elles continuent à jouer au dek hockey ensemble et se voir régulièrement.
4. Est-ce que le retour au Québec fut quelque peu difficile ? Ou au contraire, cette expérience vous a-t-elle donné le carburant pour continuer ?
Nous n’avons pas vraiment vécu de défi au retour. À l’exception de Valérie qui a été malade pendant le voyage et une semaine au retour. Mais elles se sont surtout concentrées sur la grande fierté et satisfaction ressenties pour les pousser à continuer leurs actions.
5. Pensez-vous que la plupart des femmes devraient se donner la chance de vivre ce genre de moment unique ?
Autant que le Trek Rose Trip représente un dépassement de soi individuel, autant que l’évènement en soi et la force de l’équipe sont une expérience de groupe des plus enrichissante. C’est un voyage des plus complets, comblant toutes les sphères physiques, psychologiques et sociales d’une vie. Elles embarqueraient dans un autre trek de ce genre sans hésiter !
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Valérie, Fannie et Debbie
Merci à ces femmes extraordinaires de m’avoir partagée leur expérience du Trek Rose Trip au Sénégal.
Ce Trek Rose Trip au Sénégal restera toujours imprégné dans mon cœur…
Une fois de plus, je me sens non seulement fière d’avoir marché dans le désert pendant 4 jours, sous un soleil plombant et très souvent dans le sable. D’où l’importance de se faire confiance. Mais je me sens surtout privilégiée d’avoir pu aller à la rencontre de toutes ces femmes extraordinaires, qui marche pour la cause de la recherche pour le cancer du sein, la sclérose en plaques ainsi qu’en supportant l’organisme Cap Éco Solidaire. Comme à l’habitude, j’ai eu beaucoup de plaisir, mais j’ai aussi retrouvé un sens en l’humain et l’humanité.
Il faut définitivement « expérimenter » la force du désert pour vraiment comprendre tout le pouvoir de changement sur nos vies que celui-ci peut nous apporter : le sillonner à pied pendant 4 jours sur 60 km, aller au gré des rencontres, se retrouver aussi dans le silence telle une médiation consciente est assurément des plus puissants…
À lire également : J’ai également un article sur mon expérience au Trek Rose Trip au Maroc en 2018, un trek d’orientation 100% féminin et solidaire.
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*Écrit initialement pour Noovo Moi, mais adapté pour ce blogue











